AFFAIRES ÉTRANGÈRES – DÉFENSE45 - Pratiquer une aide au développement favorisant le « vivre et travailler au pays »


« Notre aide publique au développement sera augmentée et concentrée sur les pays de départ de l’immigration actuelle dont les gouvernements accepteront des contrats de développement centrés autour du principe « vivre et travailler au pays ». Le franc CFA sera supprimé et les accords de libre-échange qui ruinent l’agriculture de ces États seront dénoncés. »

L’aide publique au développement relève d’un impératif de solidarité internationale, mais elle participe aussi d’une politique de rayonnement, dans un contexte de rivalité entre puissances. En France, on constate des dérives, comme le refus de toute conditionnalité et le développement de prêts à des pays (Turquie, ou même Chine) qui n’en ont pas besoin, mais qui semblent plus solvables.

L’aide publique au développement française sera recentrée sur l’objectif de sortir les pays les plus pauvres de l’assistanat. Cela suppose une réduction de la part des prêts au profit des dons, un respect de la souveraineté monétaire (fin du franc CFA), une protection économique des secteurs stratégiques comme l’agriculture (fin des accords commerciaux avec l’UE), mais aussi la rupture avec le réflexe de l’émigration, qui vide ces pays de leur forces vives. Vivre et travailler au pays sera le principe directeur des contrats de « responsabilité mutuelle » conclus avec les gouvernements. 

L’aide se concentrera sur l’Afrique, au nom de nos liens historiques et linguistiques.

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