« Nous nous opposerons à l’islamisme en refusant de vendre des armes et de signer des alliances ou des coopérations avec les pays qui soutiennent cette idéologie directement ou indirectement. »
Ceci est un fait : certains pays, proches par ailleurs des Etats Unis, soutiennent l’idéologie islamiste et s’en servent comme d’une arme pour faire avancer leurs intérêts. De l’Arabie Saoudite à l’Indonésie en passant par le Qatar, la Turquie, le Pakistan…, l’islamisme est vu comme une arme de domination, un moyen d’influence ou encore un facteur de déstabilisation au besoin.
La catastrophe humanitaire que vit le Yémen depuis bientôt 8 ans, le meurtre de Jamal Khashoggi en 2017, tout comme le chaos dans lequel est plongé la Libye depuis plus de 10 ans ne sont que quelques exemples parmi tant d’autres des atrocités dont sont capables les régimes soutenant l’islamisme.
L’exemple de la confrérie des Frères musulmans, du Jamaat-e-Islami ou encore les relais islamistes de la Turquie en Europe et dans le monde illustrent toujours un peu plus chaque jour la volonté de conquête du pouvoir qui est à l’œuvre partout dans le monde.
En France même, sous la forme meurtrière des attentats djihadistes ou sous la forme plus pernicieuse de la conquête idéologique des territoires perdus de la République, l’islamisme est un ennemi de notre cohésion, de notre liberté et de nos principes républicains. Il faut donc assumer une lutte idéologique qui passe aussi par l’international et la cessation de toute coopération avec les pays qui le soutiennent.