Fondé en 2000 par Peter Guilford, l’ancien porte-parole de la Commission, Gplus offre des services de communication et de lobbying à des clients dont font partie Gazprom, Motion Pictures Association et les gouvernements russe, israélien, thaïlandais et turc. Gplus s’est rendu célèbre par son travail de conseil en communication pour Vladimir Poutine et le Kremlin, plaidant pour sa politique gazière, pour la position russe sur le conflit en Ukraine et contre les sanctions de l’Union européenne.
Spécialiste des embauches via les « portes tournantes », Gplus a annoncé en 2015 que l’ancienne vice-présidente du Parlement européen, la libérale allemande Silvana Koch-Mehrin, travaillerait comme conseillère politique principale de la société. De quoi éveiller les soupçons puisqu’au Parlement européen, Madame Koch-Mehrin travaillait en particulier sur les relations commerciales avec la Russie et le Canada.
A recent string of scandals involving senior EU officials has reignited the debate of the EU’s revolving doors, meaning the transition of politicians or civil servants from public office into lobby jobs and vice versa. Such transitions create a …
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L’Allemagne secouée par une deuxième affaire de plagiat
L’Allemagne ne plaisante pas avec les grades universitaires: Outre-Rhin, on revendique son doctorat comme un gage de confiance et de respectabilité. Début mars, le très populaire ministre de la Défense Karl-Theodor Zu Guttenberg avait déjà démissionné pour avoir copié de très…
Ces millions d’euros que dépensent les multinationales à Bruxelles pour influencer les institutions européennes
Bruxelles est un nid à lobbys. Environ 25.000 personnes travaillent dans ce secteur. Leur job: faire pression sur les institutions européennes pour défendre les intérêts de grosses compagnies. Ce trafic d’influence se chiffre en dizaines et dizaines de millions d’euros. Corporate Europe Observatory …
Ces firmes spécialisées dans le lobbying et les relations publiques qui aident les gros pollueurs à verdir leur image
Défendre l’huile de palme, promouvoir le nucléaire, vanter les OGM ou le gaz de schiste… Aucune tâche ne semble rebuter le petit monde des cabinets (…)
76 universitaires lancent un appel pour contrer « une vague identitaire sans précédent au sein de l’enseignement supérieur et de la recherche ».
Sur le site Internet de l’observatoire (decolonialisme.fr/) on trouve nombre de contributions et d’informations relatives au vent de folie qui souffle sur l’université : le « décolonialisme » et son complément obligé « l’intersectionnalité », « qui croit combattre les inégalités en assignant chaque personne à des identités de « race » et de religion, de sexe et de « genre » ».
On pourrait se réjouir du débat, de la confrontation d’idées, des oppositions argumentées qui sont la base de la recherche universitaire et de la transmission de savoir. Malheureusement, on assiste ces derniers mois à une multiplication « d’incidents », d’ostracismes et de chasses aux sorcières aux motifs qui paraissent ridicules, mais qui brisent des vies d’enseignants et de chercheurs.
Venue des Etats-Unis, cette nouvelle vision du monde « décoloniale », sous couvert d’ouverture et de progrès, est une formidable régression. Elle ne discute pas, elle ne questionne pas, elle impose. Elle plaque sur la complexité du monde une grille totalitaire simpliste qui ne voit plus le collectif, et le mouvement long. C’est le triomphe de l’individu contre l’universel et s’y opposer devient hérétique.
Le travail de mise en lumière mené par l’observatoire est donc le bienvenu au moment où ce « McCarthisme tendance » tente de s’imposer dans tous les lieux de formation.
Claude Nicolet, grand historien de la Rome antique et de l’idée républicaine en France, expliquait que la république est une méthode : mettre à distance le tyran qui est en nous. C’est bien ce qui est en jeu.
République souveraine n’est pas l’Observatoire et les universitaires qui y participent écrivent librement. Nous pouvons avoir des désaccords sur telle ou telle contribution, mais là n’est pas l’essentiel. La situation est préoccupante, nous soutenons cette initiative.
Nous disons aussi que le « décolonialisme », en niant la possibilité d’un universel, en rabattant les arguments sur l’origine ou les préférences personnelles, porte en lui la violence.
Nous disons enfin que les harcèlements, les menaces et les mises à l’index ne peuvent d’aucune manière être tolérés dans une République démocratique. Nous souhaitons vivre dans une société libre ou le débat argumenté et apaisé est la norme et où l’intimidation n’est pas un moyen pour faire taire les intelligences.
76 universitaires lancent un appel pour contrer « une vague identitaire sans précédent au sein de l’enseignement supérieur et de la recherche ». Sur le site Internet de l’observatoi...
Une hausse injustifiée des tarifs des complémentaires santé !
Absorbons-les au sein de l'assurance maladie, dont les coûts de gestion sont plus bas. Ces économies bénéficieront aux cotisants, et permettront de récupérer les 2,6 milliards d'€ de bénéfices réalisés par les mutuelles !
Hommage à George Orwell, mort il y a 71 ans, penseur génial d'un "socialisme humanitaire, populiste, un peu anarchiste, sans cartes ni dogmes, fondé au bout du compte sur l'accolade fraternelle, sur la chaude poignée de main entre camarades." ... En lire plusEn lire moins
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