Le vieux parti socialiste espagnol (PSOE), rénové par Pedro Sánchez, triomphe. La droite se divise avec l’irruption d’un jeune parti nationaliste, Vox – 10,3 % des voix –, qui récupère une bonne partie de l’électorat du parti populaire. Podemos et ses multiples alliés se voient relégués, avec un score de 12 %, au rôle d’auxiliaire d’extrême-gauche du futur gouvernement socialiste, lequel a annoncé vouloir gouverner seul. On est loin du “sorpasso” rêvé en 2015...